Au Portugal, cette approche par assèchement des recettes publicitaires se heurte au fait qu'il n'existe pas d'organisme important regroupant les annonceurs. Les annonces viennent essentiellement de Google et d'AdWords, à qui nous demandons directement de les retirer. Ou bien ce sont des sous-traitants de courtiers, qui opèrent dans des pays tiers.
Combien de personnes cette économie touche-t-elle ? Le week-end dernier, le site sur lequel je regardais un match de football impliquant une équipe portugaise indiquait que 5 000 personnes faisaient de même. Dans la mesure où nous avons bloqué 738 sites ou retransmissions, vous aurez une idée du nombre de personnes fréquentant ces sites.