Je partage les propos de Jean-Jacques Lozach sur les conséquences du piratage, qui remet en cause l'économie du sport. Les expériences portugaise et britannique démontrent que la coopération avec les FAI est indispensable. À travers l'article 24 de la loi de 2017, nous souhaitions qu'une démarche s'engage, basée sur la concertation. Aujourd'hui, le dialogue est dans l'impasse. Quels arguments les FAI opposent-ils pour justifier ce refus de dialogue ? Comment être plus contraignant avec eux ? Cela passe-t-il par la loi ?