En tant que rapporteure budgétaire sur la recherche, je propose de compléter ce que ce qui vient d'être dit, dans le sens de ce qu'évoquent les responsables du CNES. Lorsque je les ai auditionnés, certains ont reconnu qu'en fait SpaceX avait eu raison avant les autres sur les moteurs réutilisables et qu'il faudrait n'en avoir qu'un seul. Est-ce qu'il est encore temps de revenir en arrière en cherchant à n'avoir plus qu'un seul réacteur sur Ariane 6, avec quels coûts financiers ?