Deux remarques sur les notes courtes. Paradoxalement, il me semble qu'une note envoyée par mail a moins d'impact qu'une note en format papier. Le flot de communications électroniques reçues par les parlementaires ne permet pas de les identifier facilement. Je l'ai vécu avec ma note sur la rénovation énergétique des bâtiments que j'avais envoyée sous forme électronique à tous les membres de la commission du développement durable et dont personne ne m'a jamais parlé. La deuxième observation, plus générale, est sur la place de l'Office, auquel je suis pourtant très attaché. J'ai le sentiment, à l'Assemblée nationale au moins, qu'il n'est pas reconnu, qu'il a presque un caractère extra-parlementaire. C'est dommage car on y travaille sur des sujets très intéressants. Par exemple, si je n'avais pas été membre de l'Office, je n'aurais probablement jamais lu la note sur l'huile de palme d'Anne Genetet qui traite d'un sujet passionnant et important.