Vous avez raison de souligner le fait que les femmes ont le pouvoir de faire évoluer les mentalités. Toutefois, un grand nombre d'entre elles vivent en situation de précarité, notamment parce qu'elles travaillent à temps partiel. Or le sport a un coût et la pratique nécessite de disposer de moyens de garde pour les enfants, ce qui est encore plus contraignant pour les femmes confrontées à des difficultés économiques. Il s'avère encore problématique d'articuler ces différents aspects.