Évidemment non ! Pourquoi ? Parce que le problème de fond, c’est la divergence dans l’appréciation de la définition de la qualité ; c’est un point que nous avons revu. Nous nous sommes nous-mêmes, si je puis dire, tiré une balle dans le pied : on pourrait dire que l’on a traité ces 600 zones blanches, mais on compte maintenant des milliers de zones blanches… On en a traité 600 en 2018, on en traitera 700 en 2019. Rien que dans le département des Hautes-Pyrénées, ce sont neuf sites qui ont été visés : deux ont déjà été identifiés, me semble-t-il, et sept restent à l’être. On va ainsi continuer d’année en année.
Nous allons aussi mettre en place un guichet pour accompagner l’ensemble de nos concitoyens à l’accès aux meilleures offres de téléphonie parce que, dans certains cas, comme vous l’avez dit, les coûts sont un peu plus importants.