On voit bien qu’il s’agit là d’une absence de volonté politique.
J’ai travaillé, comme vous le savez, monsieur le ministre, pour que la lutte contre le logement insalubre à Marseille devienne une cause nationale, parce que nous avons atteint un point de non-retour.
À ce titre, je voudrais vous remercier, monsieur le ministre, de votre engagement sans relâche et de votre soutien aux Marseillais et à Marseille, immédiatement après la catastrophe, quand d’autres restaient dans le silence, voire dans le déni.
Je veux saluer la création de la société publique locale d’aménagement d’intérêt national, la SPLA-IN, que j’appelais de mes vœux au Sénat.