Je suis tout à fait d'accord avec ce qui a été dit, y compris par Coordination Sud, sur l'intérêt d'un ministère bilatéral. Nous pourrions surmonter ce mal français, cette difficulté presque culturelle, à évaluer. La problématique de la gouvernance nous interpelle très fortement.
Nous sommes obligés de nous remettre tous en question ; le mieux, c'est de le faire ensemble ! C'est peut-être l'état d'esprit de cette rencontre et de la loi à venir.