Comment les armées s'organisent-elles pour appréhender le flot d'informations collecté par les satellites CSO et CERES ? Avons-nous anticipé, notamment en termes d'organisation, ce saut quantitatif auquel cette collecte va donner lieu ? L'industrie peut-elle être une ressource pour traiter les données non stratégiques et laisser les armées s'occuper du primordial et de l'urgent ?