Intervention de André Vallini

Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées — Réunion du 13 février 2019 à 9h30
Enjeux de la présidence française du conseil de sécurité en mars 2019 — Audition de M. Alexis Lamek directeur des nations unies au ministère de l'europe et des affaires étrangères

Photo de André ValliniAndré Vallini :

J'avais la même question que Mme Jourda sur l'encadrement du droit de veto.

Que signifient des opérations de maintien de la paix « plus robustes, efficaces, offensives » ? Elles sont parfois contre-productives - je pense à la Centrafrique -.

La réforme du Conseil de sécurité ne voit jamais le jour. Sera-ce le cas dans les années qui viennent ? L'année 1945 est lointaine. Il faut faire évoluer le Conseil de sécurité. L'Allemagne et le Japon sont de grands pays. Le Conseil de sécurité est un « club de riches ». Plusieurs pays d'Amérique latine, dont le Brésil, ou d'Afrique, dont l'Afrique du Sud et l'Algérie, sans parler du sous-continent indien, ont aussi leur mot à dire. Je suis un partisan acharné de la réforme. À quelle échéance l'envisager ?

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