Je remercie M. le secrétaire d'Etat de sa réponse, qui n'apaise toutefois pas mes inquiétudes. En effet, j'ai en mémoire qu'il reste douze opérations pour un montant supérieur à 100 millions d'euros.
Sur la route nationale 137, vous avez parlé, monsieur le secrétaire d'Etat, de quelques aménagements. Encore faut-il préciser qu'il s'agit d'une route particulièrement étroite, très dangereuse, utilisée pour les convois exceptionnels et où l'on dénombre de plus en plus de morts.
Je dois vraiment dénoncer la dangerosité de cette route et vous dire que le département de la Gironde attend, au-delà des paroles, des actes. Je pense qu'entre le dire et le faire il y a place pour la sincérité.