Monsieur le ministre, je vous remercie des précisions que vous avez bien voulu m'apporter.
Ce bilan, pour une première étape, pourrait être considéré comme satisfaisant. Pour autant, n'oublions pas la détresse des salariés qui restent encore sur la touche, ni celle de leur famille.
Je sais, monsieur le ministre, que le Gouvernement - et je lui fais confiance - a encore quasiment dix-huit mois devant lui. Néanmoins, les représentants de la Loire seront vigilants, car notre département a été, depuis des décennies, durablement touché par différentes crises économiques successives.