Je connais l'Équateur, mais pas la Colombie. Depuis plusieurs semaines, nous préparons ce déplacement par de nombreuses auditions. Vous avez évoqué l'attitude inquiétante du président ; pensez-vous que les pays qui sont intéressés à cette démarche de paix, et notamment la France, disposent de leviers diplomatiques bilatéraux ou multilatéraux suffisants pour le pousser à ne pas abandonner le processus ?
Quelle est l'image de la France en Colombie ? Nous avons des liens anciens, y compris dans la période récente, avec l'enlèvement et la libération de Mme Betancourt, qui avait défrayé la chronique chez nous.