Je confirme qu’il s’agit bien de créer un cadre favorable au développement du covoiturage, non pas en concurrence avec les transports publics et les offres traditionnelles, mais bien en complément de ceux-ci.
Dans beaucoup de territoires, il n’existe pas d’alternative à la voiture individuelle ; dans ces territoires, il est évidemment très important de permettre aux autorités organisatrices d’encourager le développement du covoiturage, en particulier en soutenant les conducteurs, dans certains cas, quand l’offre est insuffisante.
Je suis convaincue de l’importance et même du caractère indispensable du développement du covoiturage, qui est en quelque sorte le transport collectif des zones peu denses. Les pouvoirs publics doivent le soutenir.
Avis défavorable, donc, sur ces deux amendements.