Madame la ministre, la politique d’exonération relève d’une vision court-termiste : en effet, elle réglera peut-être la question cette année, mais on sait très bien que le problème sera le même les années suivantes.
Cette mesure heurte profondément notre tradition d’hospitalité et d’ouverture. Considérer aujourd’hui les étrangers comme une charge plus que comme une chance me semble très regrettable, particulièrement pour notre pays aujourd’hui.