Monsieur Labbé, vous m’avez annoncé une question simple. Or non seulement elle n’est pas simple du tout, mais elle est même très compliquée !
Ce sujet concerne trente-huit entreprises, produisant 9 500 tonnes de produits. Le comité de réglementation de l’agriculture biologique y travaille depuis des années, et le Comité national de l’agriculture biologique s’est réuni en octobre dernier, sans pouvoir trancher. Il doit donc se réunir de nouveau le 3 avril prochain, mais, comme il ne pourra pas davantage trancher cette question, le traitement de celle-ci sera reporté au mois de juillet. Voilà le problème !
L’alternative est simple : vous dites qu’il faut interdire cette pratique, mais la France doit-elle sur-transposer les directives ?