Nous avons, quant à nous, affecté la totalité des plus-values de recettes au désendettement.
En termes de dépenses, le dernier budget de la législature socialiste affichait une croissance des crédits de 0, 5 % en volume. Nous avons, quant à nous, réduit les dépenses.
Enfin, s'agissant des effectifs de la fonction publique, je me limiterai à deux chiffres : d'une part, 30 000 créations de postes de fonctionnaires d'État pour 2001 et 2002 ; de l'autre, 20 000 non-renouvellements de postes consécutifs aux départs en retraite pour 2006 et 2007, en respectant les conclusions des audits, c'est-à-dire sans conséquences négatives sur le fonctionnement des services publics.
Ce budget, vous l'avez donc compris, marque clairement un cap, celui du désendettement ; il s'engage sur des priorités précises : réduire les déficits et baisser les impôts, ...