Il existe des partenariats entre services de renseignement. Beaucoup d'échanges se pratiquent. Par ailleurs, au SGDSN, nous réfléchissons avec nos homologues à nos modalités de protection, nos politiques en la matière. Par exemple, le champ de la non-prolifération constitue le domaine dans lequel nous avons le plus d'interactions avec nos homologues, le plus d'exercices en commun, le plus de comparaisons de nos dispositifs, le plus d'actions coordonnées pour intercepter, entraver des mécanismes de prolifération qui dépassent les frontières.