Je me permets de vous contredire sur la manière dont est gérée la PPST aux États-Unis ou en Angleterre ; ce qui est décrit dans ces notes correspond tout à fait aux retours de mes collègues en poste dans ces pays-là. Elle est très différente dans sa nature, même s'il existe des coopérations, par exemple entre les services américains ou l'armée et certaines universités. La différence majeure, c'est que les choses n'y sont pas gérées de manière aussi jacobine ou centralisée qu'en France, où systématiquement toutes les demandes remontent au ministère, ce qui induit toute cette lourdeur que n'ont pas nos collègues à l'étranger, sauf cas particulier, si l'université est dite militaire, aux États-Unis par exemple.