J'ai rencontré hier des chercheurs du Génopole qui m'ont dit que même si l'on va, dans le domaine de la santé, vers le développement de flux de données très importants pour la recherche, il demeure des freins réglementaires, avec une surveillance très rigoureuse de la CNIL. Les technologies quantiques sont-elles de nature à permettre de sécuriser parfaitement ces transferts de données et à rassurer sur l'impossibilité de les détourner ?