Ma thèse reprend les données chiffrées recueillies par les féministes dans les années 1980. Je n'ai pas en tête l'évolution de ces chiffres. Mais au moment où j'ai rédigé ma thèse, 3 % des abus sexuels étaient commis par des « stranger dangers ». Deux tiers étaient commis par la famille et le reste par des personnes connues de l'enfant : animateur sportif, etc.