J'ai noté que l'Irak ne connaît pas de changements politiques profonds. Dans le cadre de la proposition de résolution déposée par le sénateur Retailleau pour apporter aux chrétiens d'Orient et aux minorités religieuses une aide en matière de justice transitionnelle, nous avons insisté sur le fait qu'il ne fallait pas oublier les Kurdes, qui ont largement contribué à la lutte contre l'État islamique. Est-ce de l'ingérence ou ce mécanisme a-t-il une réelle utilité en vue de la reconstruction de la justice ?