Ensuite, on peut se demander si l’on va trop loin en matière de péréquation, s’il faut le cas échéant ralentir : ce serait là un beau sujet de débat dans cet hémicycle ! Mais on ne peut pas se contenter de citer la dotation forfaitaire, pour dire : « Vous voyez, elle diminue », ou de mentionner les montants réduits, sans préciser lesquels augmentent en parallèle.
Nous avons fait un choix en améliorant la péréquation en faveur des collectivités d’outre-mer : fallait-il le faire, oui ou non ?
Madame la sénatrice, j’y insiste : au sujet de la DGF, il ne faut pas dire n’importe quoi.