Vous avez commencé par nous alarmer, mais vous avez aussi mis en évidence une prise de conscience collective et proposé des solutions. L'idée qu'il n'existe pas de données personnelles est très intéressante : nous participons d'un bien commun souverain, ce qui réclame une prise de conscience individuelle. En termes d'usage, de pratique, de valeurs et de principes, nous devrons respecter des règles. Sommes-nous à ce niveau, de prise de conscience individuelle, nous porteurs de données, et quelles sont les solutions pour y parvenir ?