Je note que le principe d'adaptation peut quand même aller à l'encontre du principe de précaution.
Le changement climatique exige une véritable solidarité entre les villes, qui concentrent les besoins en eau ou en énergie, et les campagnes, dans lesquelles sont construits les ouvrages et les infrastructures. L'adaptation au changement climatique nécessite également une réorganisation des filières. Ainsi, le développement des éoliennes n'a pas profité à l'industrie française. Par ailleurs, la modulation des indemnisations préconisée par le rapport ne doit pas concerner uniquement le monde agricole, mais également le secteur du bâtiment.