Je me propose d'adresser un courrier à la présidence de l'Union européenne pour déplorer le déroulement de cette conférence de Bucarest... qui ne semblait pas convenir. Nous pourrions aussi parler de l'État de droit. Ce qui a été fait en 2004 était inévitable ; mais il n'est pas acceptable de baisser les standards en la matière.
Le groupe de suivi sur le Brexit et la refondation de l'Union organisera une table ronde le 5 juin. Je crois que cette refondation nous occupera longtemps. Cette préoccupation sera au centre des mandats du futur Parlement et de la future Commission. Le Sénat a un rôle très important à jouer en matière de prospective.