Brigitte Henriques, vice-présidente déléguée de la Fédération française de football et vice-présidente du comité d'organisation de la Coupe du monde féminine de la Fifa :
Ce n'est pas à l'ordre du jour dans l'immédiat. Mais on peut raisonnablement penser qu'après la Coupe du monde, il faudra entre cinq et dix ans pour que les joueuses puissent enfin bien vivre de leur métier.