Jusqu'à récemment, nous étions plutôt défavorables à l'imposition de quotas et cela paraissait compliqué, car le réservoir de candidates n'était pas pleinement identifié. Désormais, nous n'avons plus besoin d'imposer les choses, même si seulement deux femmes sont présidentes de districts. On ne compte par ailleurs qu'une vice-présidente, à la ligue Bourgogne-Franche-Comté. Il y a donc encore beaucoup de travail à faire...