Certains pensent que nous avons déjà perdu la bataille des tuyaux et des outils, et que nous sommes maintenant dans la bataille des contenus. Je ne suis pas complètement d’accord avec cette vision minimaliste ; au contraire, soyons volontaires. Ce que l’on attend de l’État actionnaire, c’est qu’il fédère les acteurs et qu’il donne le ton, qu’il fixe la direction.
En cette matière, il faut une action stratégique, globale et coordonnée au plus haut niveau de l’État et, ensuite, à l’échelon européen.