M. Christophe Priou . Dont acte, mais la baisse régulière du nombre de spectateurs et la fracture culturelle entre grosses productions et films d’auteur continuent de nous interroger. Michel Audiard aurait pu conclure notre débat en ces termes : « Le cinéma français est à l’image de la France : on n’a pas assez de pognon, et c’est comme ça dans tous les domaines. »