Maladies inflammatoires articulaires, maladies inflammatoires intestinales, maladies respiratoires aiguës et chroniques, cancérologie, dermatologie, et j’en passe : dans de très nombreux cas, les médecins doivent prescrire de la cortisone, médicament de premier recours et souvent irremplaçable.
Madame la ministre, depuis quelques semaines, nous assistons à une décroissance des stocks de cortisone, administrable par voie orale comme injectable. Nous en arrivons aujourd’hui à une véritable pénurie dans les officines, ce qui contraint les patients à se livrer à une surréaliste chasse au trésor.
Pouvez-vous nous expliquer précisément comment cette situation incroyable et inacceptable a pu se produire ? Pourquoi n’a-t-elle pas été anticipée en amont ? Pouvez-vous faire un point de situation ?