Le culte catholique a été bouleversé dans les années soixante, nos rites sont sensiblement différents aujourd'hui et le sens que nous accordons aux objets et aux édifices n'est plus tout à fait le même. Il sera difficile, notamment aux architectes, d'obtenir de la part du clergé affectataire un discours unique et cohérent sur la liturgie nouvelle, les besoins nouveaux. Ceux d'entre vous qui sont élus locaux et dialoguent avec les instances cultuelles savent que, de notre côté, il y a beaucoup de fragilités, d'incertitudes, de débats et de questions non résolues. Autrement dit : il va falloir faire travailler les curés !