Mon amendement va plus loin que la rédaction que nous avions adoptée, qui était une « restitution dans l'état visuel d'avant le sinistre ». Je préconise en effet qu'on restaure Notre-Dame dans l'état physique et technique qui était le sien avant le sinistre - y compris en ce qui concerne les matériaux employés. C'est pourquoi l'amendement n° 41 supprime l'adjectif « visuel ».