Il faut aussi une visibilité sur le coût réel de ces aides, qui approchent parfois 20 % ou 30 % de leur montant. Je pense à la gestion administrative, au personnel qu'il faut payer pour monter les dossiers, aux contrôles à réaliser après coup... Sans parler de ce qui arrive à l'État : la préfecture de Normandie, contrôlée, a dû geler les fonds du FSE pendant deux ans. Cela a occasionné des difficultés aux missions locales, ressenties dans toute la Basse-Normandie.