Nous avons récemment fait savoir à M. Kaymakci, vice-ministre des affaires étrangères de Turquie que nous avons accueilli, à quel point le prosélytisme du président Erdogan dans le voisinage était intolérable. Notre dialogue a été courtois, mais extrêmement ferme. Nous ne sommes pas aveugles : de tels comportements ne sont pas dignes d'un pays qui veut entrer dans l'Union.