Madame la secrétaire d’État, il me faut vous dire que vos remarques ne sont pas très gentilles pour vos collègues. Réintégrer la dette de la SNCF dans la dette publique découle d’une décision prise par Mme Parly, au XXe siècle, quand elle était aux affaires dans un autre gouvernement… C’est de cette décision que vous êtes obligés d’assumer les conséquences !