Il s’agit non pas d’APL, mais de l’occupation de la zone des cinquante pas géométriques. En outre-mer, particulièrement en Guadeloupe, on constate une occupation de la bande littorale par des habitats spontanés. C’est évidemment dangereux, parce que nous sommes confrontés à des risques naturels majeurs, notamment les ouragans et les cyclones.
Avec cet amendement, je demande un rapport du Gouvernement, d’une part, pour permettre de prendre en compte ces situations, et, d’autre part, pour faire en sorte que les différents acteurs – Conservatoire du littoral, communes, associations environnementales – prennent des mesures pour parer les difficultés que l’on déplore systématiquement après les ouragans et les cyclones. J’en profite pour remercier Mmes Estrosi Sassone et Primas, que j’ai entendues sur Radio Caraïbes International, lors de leur passage en Guadeloupe. Je souscris à tout ce qui a été dit.