Nous aurons ce débat sur ce sujet d'une importance essentielle lors de l'examen de la loi-cadre. Nombre de dirigeants de ces pays pauvres que nous rencontrons affirment que leur priorité est de nourrir et de soigner la population, arguant que leur empreinte écologique n'est pas la plus grave pour l'avenir de la planète. Je donne la parole à un orateur pour chaque groupe politique qui le souhaite.