Monsieur le directeur général, l'AFD est un outil d'excellence de la politique de coopération française. Mais se pose depuis le début la question du lien avec l'exécutif et le Parlement. Le président Cambon a souligné l'absence d'un ministre dédié. La question reste posée. Quelle est votre opinion à ce sujet ?
Nombre d'entre nous ont le sentiment que vous avez fait le job, même s'il reste une marge de progression. Ceux qui sont membres du conseil d'administration - la manière dont cela fonctionne est certainement perfectible - connaissent vos qualités personnelles et professionnelles. Nous faisons partie de ceux qui estiment qu'il convient d'inscrire l'action du directeur général dans la durée.