Lorsqu'on parle de commerce international, je suis toujours très prudente, car je crains que la France ne soit in fine « l'enfant pauvre » des négociations internationales. Je pense notamment à l'agriculture.
La question des distorsions de concurrence, abordée par Yannick Vaugrenard est essentielle. Elle doit être traitée car les problèmes sont réels.