« Le nier, ce serait oublier deux siècles d’histoire politique. Mais ces cultures suffisent-elles à structurer le débat ? Disent-elles quoi faire sur l’Europe, sur l’écologie, sur la politique méditerranéenne, sur la décentralisation ?
« Je ne crois pas, mesdames, messieurs les sénateurs, que le vrai sujet soit aujourd’hui de savoir comment ressusciter la gauche ou sauver la droite. §Le but est de savoir comment, avec nos héritages, nos sensibilités, nos différences, nous dépassons nos habitudes, pour nous rassembler, pour relever les défis de notre pays et de notre planète. »