Les fonctionnaires ultramarins, une fois affectés à des missions dans l’Hexagone, éprouvent d’immenses difficultés à revenir, lorsqu’ils en font la demande, au sein de leur territoire d’origine.
Pour des raisons familiales, ces situations sont complexes à gérer sur le plan professionnel et personnel.
Or, des organisations syndicales aux associations, en passant par nos concitoyens d’outre-mer, tous ont signalé différents manquements et retards quant à la mise en œuvre de ce changement législatif dans les politiques de gestion des ressources humaines des différents ministères.
Ainsi, le présent amendement vise à évaluer – je n’utilise pas, volontairement, le terme « rapport », qui ne porte pas vraiment chance dans cet hémicycle !