Il faut aussi que le traitement des données soit territorialisé, et que des portes dérobées ne soient pas introduites dans nos machines : le cas s'est produit avec certains microprocesseurs. Voici quelques années, je m'étais étonné de voir que Bpifrance stockait ses données dans un cloud Microsoft ; on m'avait répondu qu'il était trop cher d'aller ailleurs. Peut-on garantir que nos grandes institutions, qui travaillent à la réception, à l'analyse, à l'accompagnement de projets stratégiques, sont protégées ?