L'ambassadeur pour les affaires numériques nous a dit que les préfectures travaillaient avec Google Maps jusqu'au jour où le prix des licences est devenu exorbitant. Elles ont compris que fournir des données publiques à OpenStreetMap permettait de continuer à utiliser le service. Elles donnent aujourd'hui une large publicité à leurs données, permettant ainsi à des logiciels libres de s'en emparer pour offrir des solutions là où des opérateurs privés imposent des coûts prohibitifs.