Pendant 40 ans, on nous a expliqué que le prélèvement à la source n'était pas possible. Or, il a été mis en oeuvre sans coup férir. La Cour des comptes peut-elle et veut-elle travailler sur la réforme de l'État en prenant en compte les évolutions en matière numérique, mais aussi d'intelligence artificielle et de robotisation ? Ne faudrait-il pas lancer un chantier qualitatif de réforme de l'État ?