Madame la présidente, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, nous sommes aujourd’hui le 3 juillet. Comment pourrions-nous oublier, dans cet hémicycle, que la loi de séparation des Églises et de l’État a été votée le 3 juillet 1905 ?
Cette loi demeure un pilier essentiel de notre démocratie et de la paix civile. L’histoire et l’actualité contemporaines nous le rappellent chaque jour.