Nous avions reçu les trois acteurs majeurs du dispositif public. C'est au niveau des territoires que se jouera la bataille de l'export. Les régions ont récupéré par la loi NOTRe la compétence en matière de développement économique. C'est un gage d'efficacité en raison de la proximité voulue par cette réforme. Vous avez évoqué la mise en place des portails régionaux et leur généralisation à l'automne prochain. Pouvez-vous nous en dire plus sur leurs contenus ainsi que sur les moyens dont disposeront les régions ? Aujourd'hui, sur dix entreprises se lançant dans l'export, seules trois sont toujours exportatrices au bout d'un an, et une seule au bout de trois ans. Les élus de la région Occitanie ont à coeur de relever le défi de l'export, mais elles ont besoin de moyens. Quels moyens l'État mettra-t-il à disposition des territoires ?