La première idée concerne le manque de place laissé à l'expertise, qui se nourrit de la recherche, et qui doit être consultée à l'occasion de la prise de décision publique. Le recours à l'expertise doit permettre de mieux répondre aux enjeux et de dépasser les visions simplistes, voire simplificatrices. Pour cela, la recherche d'indicateurs multi-composantes et leurs définitions doivent être des priorités.
La deuxième idée a trait à la complexité de la gestion des biens communs. Dans notre cas, il s'agit de la forêt primaire et des sols qui l'abritent dans les pays tropicaux. Comme pour d'autres biens communs, il est nécessaire d'organiser - ou ici de réorganiser - la chaîne de valeur, et d'exiger une transparence à l'échelle de chaque acteur, pour une gestion optimale et durable au service de tous.
Avec ces quatre chiffres, ces trois recommandations et ces deux questions connexes, il nous reste à vous remercier de votre attention. Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos questions.