Nous avons énormément à dire sur l'économie et sa complexification, disons-le, par la haute administration. Cette situation gagnerait à être débloquée par les élus.
Je parlais récemment avec l'ambassadeur du Koweït à Paris. Les Koweïtiens détiennent des capitaux prêts à être investis et aimeraient investir en France mais sont découragés par les complications administratives - leur visa ne dure que pour trois mois renouvelables - et préfèrent investir dans des pays comme l'Espagne, l'Italie ou l'Allemagne. Il y a de nombreux exemples similaires montrant notre incapacité à recevoir des capitaux étrangers qui aideraient nos entreprises et notre pays à se développer.