Les dispositions de cet amendement ne vont pas aussi loin que le voudrait le Gouvernement, mais elles marquent au moins une avancée.
Il n’appartient pas au législateur de trancher la question de la restauration. Il s’agit d’un débat patrimonial habituel, comme il en existe pour toutes les restaurations de monument historique. C’est au propriétaire de décider in fine, après un large travail de consultation des experts – je pense à la CNPA, et au conseil scientifique de l’établissement public – et de nos compatriotes. Toutes celles et tous ceux qui voudront s’exprimer pourront le faire, après quoi l’État décidera du type de restauration qu’il souhaite.
Pardonnez-moi, monsieur le rapporteur, mais tous les donateurs n’ont pas dit qu’ils souhaitaient une restauration à l’identique.